
L’abattoir de volailles de Gramat : fin décembre Cauvaldor a déposé le permis de construire pour le bâtiment et le Parc a déposé auprès de la Région Occitanie le dossier de demande de financement pour le compte de la SCIC La Plume du Causse. 2018 devrait donc voir le projet sortir de terre.
La transition énergétique et écologique : les « nuits de la thermographie » se poursuivent avec déjà trois rendez-vous qui ont eu lieu sur les cinq programmés. Les deux derniers auront lieu le vendredi 26 janvier à Miers et le Vendredi 9 février à Limogne-en-Quercy avec au programme : présentation, interrogations et tests autour de l’imagerie thermique pour comprendre les phénomènes liés à la déperdition thermique dans les bâtiments.
Ecobarris : alors que l’écobarri de Lavergne a été inauguré en novembre 2017, le permis d’aménager de celui de Mayrinhac-Lentour sera déposé en février. Les communes du Bastit et de Livernon ont sollicité le Parc pour lancer à leur tour des projets avec potentiellement 5 à 6 habitations qui pourront voir le jour au Bastit et une vingtaine à Livernon.
L’Observatoire intra-Karst : l’ensemble des sondes a été placé dans le réseau souterrain du bassin de l’Ouysse avec l’aide du Comité départemental de spéléologie du Lot. Les évènements pluvieux de ces dernières semaines permettront d’acquérir des données intéressantes afin d’établir un modèle de circulation des eaux souterraines du causse de Gramat.
La RNN, dépollution aux Phosphatières des Lébratières (commune de Concots) : le 25 novembre dernier, grâce à l’implication des propriétaires et des élus communaux, 25 spéléologues ont extrait 20m3 de déchets de 3 cavités. Ces excavations ont longtemps servi de décharges. Les dépolluer relevait d’un double objectif: préserver la qualité de l’eau qui alimente les captages de Cahors (Tréboulou et Chartreux) ; mettre à jour des gisements de fossiles (une soixantaine d’espèces fossiles a pu être décrite, dont deux pour la 1ère fois au monde). La dépollution n’est cependant pas terminée. De quoi sans doute alimenter un prochain chantier !
Géoparc : l’UNESCO confirme son soutien au réseau français. Mercredi 13 décembre, au ministère des Affaires Etrangères, la Commission Nationale Française pour l’UNESCO (CNFU) et les Géoparcs de France ont signé une convention partenariale qui précise les modalités de gestion du label Géoparc mondial UNESCO en France. Ils ont également partagé les objectifs de développement du réseau en France et l’importance de l’engagement du réseau français dans le réseau mondial.